
Projets Pilotes
Nos documents sur les initiatives Marocaines
En s’appuyant sur des partenariats stratégiques, des financements publics et des investissements étrangers, le Maroc a les clés en main pour devenir un leader mondial de l’énergie solaire. Le secteur des énergies renouvelables, porté par des projets comme celui de SolarTech, représente une opportunité d'investissement qui s'inscrit dans la durée, et qui fait écho aux enjeux environnementaux globaux.
Le FIHD dépasse largement le cadre d’un simple dispositif financier. Il incarne une vision – celle d’un Maroc qui réconcilie son riche patrimoine bâti avec les impératifs écologiques contemporains. Pour les investisseurs étrangers et la diaspora, il offre surtout une opportunité unique : participer à une aventure immobilière où rentabilité rime avec durabilité, et où chaque pierre posée contribue à écrire une nouvelle page de l’histoire architecturale du pays.
La stratégie 2025-2030 prévoit la création de 147 micro-forêts urbaines, formant un maillage écologique entre les grandes villes.
Plus qu’un simple outil financier, ce fonds incarne une nouvelle philosophie du développement, où la valeur foncière se mesure aussi en patrimoine préservé et en emplois durables. Alors que le Maroc s’apprête à accueillir la COP33, cette initiative positionne le royaume comme laboratoire mondial de la construction post-carbone.
Dans les provinces de Zagora et Tinghir, où les pénuries d'eau ont provoqué l'exode de 28% des familles en dix ans (Haut-Commissariat au Plan, 2024) et où les nappes phréatiques accusent un déficit chronique de 40% (Agence du Bassin Hydraulique du Draa, 2023), le programme Oasis Bleues émerge comme une réponse intégrée. Porté par l'Association marocaine pour la Protection de l'Environnement (AMPE) avec l'appui technique de l'Institut International de l'Eau et de l'Assainissement (IEA), ce projet réinvente la gestion communautaire de l'eau.
À Agadir, où la surpêche a réduit les stocks de sardines de 40% en dix ans (Institut National de Recherche Halieutique, 2024) et où 58% des jeunes pêcheurs envisagent de quitter le métier (Enquête HCP 2023), le programme Pêche Durable Agadir propose une reconversion écologique du secteur. Lancé en mars 2024 par l'Office National des Pêches (ONP) avec le soutien du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), ce projet réinvente la filière halieutique autour de trois piliers : préservation des écosystèmes, valorisation des savoir-faire locaux et création d'emplois verts.
À Marrakech, où près de 30% des ateliers d’artisanat traditionnel ont fermé leurs portes depuis 2015 (Chambre d’Artisanat, 2024) et où les déchets plastiques ont envahi les ruelles, le programme Éco-Medina propose une alternative ambitieuse. Porté par la Fondation pour le Développement Durable de Marrakech (FDDM) avec l’appui de l’UNESCO et de la Région Marrakech-Safi, ce projet transforme depuis 2023 les métiers traditionnels en leviers d’économie circulaire.
Dans les quartiers périphériques de Casablanca où le taux de chômage des jeunes avoisine 42% (HCP 2024) et où les espaces verts ne représentent que 1,2m² par habitant (contre 9m² recommandés par l'OMS), le programme Villes-Jardins propose une réponse concrète.
Dans les provinces du Sud marocain, où le taux de chômage des jeunes atteint 32% (HCP 2023) et où 60% des palmeraies sont en déclin (Ministère de l'Agriculture 2024), le programme Oasis 2030 émerge comme une solution intégrée.
Lancé en janvier 2024 par la Coopérative Tissages Naturels du Rif avec le soutien du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et du Ministère du Tourisme, le projet Fibres Vertes du Rif combat simultanément trois fléaux : l'abandon des savoir-faire textiles ancestraux, la pollution des eaux par les teintures chimiques, et l'exode des jeunes vers les villes.
Lancé officiellement en octobre 2023 sous l'impulsion conjointe du Ministère de l'Aménagement du Territoire et de la Fondation pour le Développement Durable des Médinas (FDDM), le projet Eco-Dar représente une réponse innovante à deux enjeux majeurs : la préservation du patrimoine architectural traditionnel et la création d'emplois verts pour les jeunes diplômés en difficulté.
Bientot une liste et carnets d’adresse d’Associations et Initiatives Marocaines - pour communiquer, s’entraider et participer tous ensemble.

Abdelkrim, contremaître depuis vingt ans dans le BTP, passe une main curieuse sur la bande bleutée qui serpente le long de la voie. "Ce n’est plus une route, c’est une créature vivante", murmure-t-il. Sous ses doigts, des capteurs enfouis dans le bitume clignotent faiblement, comme un pouls électronique.