
La mission de notre vie sera peut-être celle d’assurer la subsistance de notre peuple et de nos enfants face à un défi qui doit rallier tout le monde : les urgences climatiques.
Désertification, sécheresse, réchauffement climatique, salinisation des nappes phréatiques… Le Maroc s’achemine vers une crise climatique sans précédent, et les années 2030 à 2050 seront une épreuve divine à surmonter ensemble.
À travers ce blog, je partage des analyses issues de mon expertise en gestion environnementale, mais je vous propose aussi un accompagnement direct si vous en ressentez le besoin.
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Notre Combat

Les Hommes et La Nature en Harmonie


Le Maroc De Demain
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"Découvrez un guide pratique pour transformer les espaces urbains et dégradés du Maroc en oasis de biodiversité grâce à des plantes locales résilientes et des techniques durables."
Le moucharabieh, souvent associé à l'architecture traditionnelle du Maghreb, notamment au Maroc, est un élément architecturale à la fois esthétique et fonctionnel, qui mérite d'être réévalué comme une solution bioclimatique moderne et durable dans les constructions contemporaines.
Les voiles textiles, souvent utilisées dans les cultures méditerranéennes et marocaines, constituent une solution architecturale traditionnelle qui s'intègre parfaitement dans les pratiques de construction durables modernes. Ces voiles, qui protègent les espaces extérieurs de la chaleur intense et des rayons du soleil, offrent des avantages thermiques et esthétiques indéniables.
Les systèmes de ventilation traditionnels en terre cuite utilisés dans les douars et les oasis au Maroc sont appelés :
Badgirs (ou Badigeirs) – Terme d'origine persane (بادگیر), parfois utilisé localement pour désigner des capteurs de vent.
Minjars – Un terme berbère/arabe marocain pour des conduits ou cheminées de ventilation.
Tazent – Dans certaines régions, ce mot désigne des ouvertures ou systèmes de refroidissement passifs en terre.
Initié en janvier 2024 sous l’égide de la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement, le programme "100 Jeunes Artisans pour le Climat" répond à un double enjeu : préserver le patrimoine artisanal marocain tout en le positionnant comme levier de transition écologique
Les digues filtrantes en pierres sèches émergent comme une solution hybride alliant savoir-faire ancestral et ingénierie hydrologique moderne. Ces structures, inspirées des techniques berbères de gestion des versants, créent des zones d'infiltration passive en ralentissant l'écoulement des eaux de ruissellement. Leur conception repose sur un empilement minutieux de pierres locales non jointives, permettant à l'eau de s'infiltrer tout en retenant les particules fertiles.
Dans les régions semi-arides du Maroc où les sécheresses récurrentes ont réduit de 40% la disponibilité fourragère depuis 2015 (Ministère de l'Agriculture, 2023), les banques fourragères communautaires émergent comme une réponse pragmatique.
Depuis l’adoption de la Loi 49-16 relative à l’Évaluation Environnementale en 2021, le Maroc a renforcé son cadre réglementaire pour les investisseurs étrangers, alignant ses standards sur les meilleures pratiques internationales tout maintenant sa compétitivité économique. Ces nouvelles exigences, qui s’inscrivent dans la stratégie nationale de développement durable "Maroc Vert 2030", imposent aux entreprises étrangères une diligence accrue en matière environnementale.
Le Maroc connaît en 2024 une refonte majeure de son cadre législatif concernant l'articulation entre droits hydriques et propriété terrienne. Ces changements, issus de la Loi 64-21 sur la Réforme du Régime des Eaux et du décret d'application 2.24.128, redéfinissent profondément les rapports entre ressources naturelles et droits de propriété.
Avec une capacité éolienne installée de 2,5 GW en 2025 et un objectif de 52% d’énergies renouvelables d’ici 2030, le Maroc s’impose comme un marché incontournable pour les investisseurs étrangers dans l’éolien. Cependant, obtenir un permis pour un parc éolien requiert une compréhension approfondie du cadre juridique marocain, des procédures administratives et des attentes environnementales. Ce guide détaille les dernières évolutions législatives et stratégiques pour sécuriser son investissement.
Avec l'entrée en vigueur du nouveau Code des Énergies Renouvelables (Loi 12-25) en janvier 2025, le Maroc redéfinit son paysage des subventions solaires pour consolider sa position de leader africain dans les énergies propres.
La nouvelle Loi 12-25 sur le Littoral, entrée en vigueur en janvier 2025, redéfinit les règles du jeu pour les promoteurs immobiliers, les investisseurs en énergies marines et les startups écotouristiques. Ce cadre juridique strict mais incitatif positionne le Maroc comme leader africain du développement côtier durable, avec des opportunités bien encadrées pour les acteurs économiques.
Avec l’entrée en vigueur du nouveau Code des Investissements Verts (2025) et la mise en place de la Bourse Marocaine du Carbone (BMC), le Maroc s’impose comme un hub africain pour la compensation carbone. Les projets éligibles peuvent désormais générer des revenus substantiels tout en contribuant à la neutralité carbone nationale.
En 2025, le Maroc s’impose comme un acteur clé dans le marché des crédits carbone bleu, un mécanisme innovant qui récompense financièrement la protection des écosystèmes marins et côtiers.
Face à l’urgence climatique et à la raréfaction des terres arables, le Maroc a fait de l’agroforesterie un pilier de sa stratégie bas-carbone.
Le Maroc se positionne comme un leader africain de la mobilité électrique. Les subventions actuelles offrent une opportunité unique pour les investisseurs, promoteurs et startups.
En cette année 2025, le Maroc s’impose comme l’un des principaux bénéficiaires des financements climatiques de l’Union européenne en Afrique. Avec une enveloppe de €840 millions allouée via le Fond Vert UE-Maroc 2021-2027, le Royaume attire startups, investisseurs fonciers et industriels désireux de concilier rentabilité et transition écologique.
Depuis l’adoption de la Loi 40-21 relative à la Mobilité Électrique (2023) et son décret d’application n°2.24-658 (2024), le Maroc a posé les bases d’un écosystème favorable aux flottes de véhicules électriques à vocation touristique. Parmi les mesures phares :
La certification Éco-Hôtel 2025 n’est pas qu’une contrainte réglementaire : c’est une formidable opportunité de repositionnement sur un marché en pleine mutation. Pour les investisseurs – qu’ils soient locaux, MRE ou étrangers – elle représente un outil de différenciation et de rentabilité à long terme.
"Le tronçon de 70 km entre Casablanca et El Jadida, inauguré en mars 2025, sert de laboratoire à ciel ouvert pour les 'Moroccan Electric Roads', combinant recharge dynamique des véhicules et redistribution d'énergie solaire aux agriculteurs locaux – une symbiose innovante entre mobilité verte et développement territorial."
Entre innovations technologiques et cadre juridique incitatif, le Maroc offre un terrain fertile pour les investisseurs MRE soucieux de concilier profit et impact. Comme le souligne le rapport 2025 de la CGEM, "l’eau sera le pétrole du XXIe siècle au Maroc". Pour la diaspora, c’est plus qu’une opportunité économique : c’est une chance de participer à la résilience hydrique du pays.
La conformité aux normes ESG n'est plus une option, mais une nécessité pour les usines marocaines souhaitant rester compétitives sur le marché international.
Pour les investisseurs, notamment les Marocains résidant à l'étranger et les expatriés, ces zones industrielles écoresponsables représentent une opportunité de contribuer au développement durable du pays tout en bénéficiant d'un environnement d'affaires favorable.
Le Maroc, riche de sa diversité géographique et culturelle, offre un cadre propice à l'expatriation écoresponsable.
Ce guide explore les étapes juridiques, les démarches administratives, les types de terrains disponibles, les coûts associés et les régions stratégiques pour les investisseurs souhaitant s'engager dans cette dynamique.
Une étude conjointe menée par la GIZ (coopération allemande) et le ministère marocain de l’Énergie (2021) estime que le Maroc pourrait produire jusqu’à 4 millions de tonnes d’hydrogène vert par an d’ici 2040, dont une partie significative pourrait être consacrée au carburant maritime.
Une sélection des 10 meilleurs métiers du tourisme durable au Maroc post-2030, tournés vers la nature, les territoires, et les aspirations des nouvelles générations.
Quelles sont les écoles marocaines qui intègrent déjà les enjeux climatiques, l’intelligence artificielle, et les pratiques durables dans leurs murs ? Découvrez notre sélection d’établissements visionnaires, entre écologie appliquée et excellence académique.
À quoi ressemblera l’école du futur au Maroc ? Ce guide aide les parents à repérer les établissements qui préparent vraiment leurs enfants aux défis numériques, écologiques et humains du XXIe siècle.
